Vendredi 27 avril 2018 – 21h – Entrée libre – Plat du soir dès 19h30
Soirée Jeux, Saison 10, Episode 8 !
Depuis bientôt 10 ans , 1 vendredi par mois, les joueurs de tous poils sont invités à venir batailler pacifiquement sur les tables du Boul’.
Une soirée introduite par Guigui et Grif et menée de mains de maitres par Guillaume Nowak, Alain Talma et Cie.
Une nouveauté cette année, aussitôt généralisée, la verrière est dévolue aux joueurs de table et de plateaux, en résumé aux jeux calmes et posés tandis que la salle du café accueillera comme lors de la dernière soirée jeu en juin dernier, un JEU DE FLÉCHETTES et un JEU DE PALETS et donc probablement un niveau sonore un peu plus élevé.
Un peu de culture générale … avec Wikipédia !
On peut définir le jeu comme une activité d’ordre psychique ou bien physique pensée pour divertir et improductive à court terme. Le jeu entraîne des dépenses d’énergie et de moyens matériels, sans créer aucune richesse nouvelle. La plupart des individus qui s’y engagent n’en retirent que du plaisir, bien que certains puissent en obtenir des avantages matériels. De ce fait, Huizinga remarque que de très nombreuses activités humaines peuvent s’assimiler à des jeux. La difficulté de circonscrire la définition du jeu représente un intérêt pour la philosophie.
Le jeu a fait l’objet d’une attention sérieuse donnant lieu à une grande quantité de publications. Les essais de Huizinga (1938) et de Caillois (1958) lui sont consacrés entièrement. « Le jeu est plus ancien que la culture », constate Huizinga en ouverture de son Homo Ludens : les animaux « jouent exactement comme les hommes ». Le jeu manifeste l’existence de l’esprit avant la culture et celle-ci, prise dans son sens le plus large, garde du jeu des traits fondamentaux. Caillois, limitant son propos à l’espèce humaine, constate lui aussi l’ubiquité du jeu, notant cependant une restriction : « le jeu est une activité de luxe et qui suppose des loisirs ».
Ces auteurs vont s’attacher à examiner les traits principaux du jeu, partant de la notion commune, sans tenter de définir rigoureusement ce que c’est. L’association du jeu à l’enfance s’est renforcée depuis, après les travaux de Piaget (1945) qui soulignent son importance pour l’apprentissage. Les jeux et divertissements d’adolescents et adultes, et la création, au XXe siècle et plus récemment, d’une grande quantité de jeux de société et jeux vidéo ont suscité moins de commentaires érudits.
Depuis bientôt 10 ans , 1 vendredi par mois, les joueurs de tous poils sont invités à venir batailler pacifiquement sur les tables du Boul’.
Une soirée introduite par Guigui et Grif et menée de mains de maitres par Guillaume Nowak, Alain Talma et Cie.
Une nouveauté cette année, aussitôt généralisée, la verrière est dévolue aux joueurs de table et de plateaux, en résumé aux jeux calmes et posés tandis que la salle du café accueillera comme lors de la dernière soirée jeu en juin dernier, un JEU DE FLÉCHETTES et un JEU DE PALETS et donc probablement un niveau sonore un peu plus élevé.
Un peu de culture générale … avec Wikipédia !
On peut définir le jeu comme une activité d’ordre psychique ou bien physique pensée pour divertir et improductive à court terme. Le jeu entraîne des dépenses d’énergie et de moyens matériels, sans créer aucune richesse nouvelle. La plupart des individus qui s’y engagent n’en retirent que du plaisir, bien que certains puissent en obtenir des avantages matériels. De ce fait, Huizinga remarque que de très nombreuses activités humaines peuvent s’assimiler à des jeux. La difficulté de circonscrire la définition du jeu représente un intérêt pour la philosophie.
Le jeu a fait l’objet d’une attention sérieuse donnant lieu à une grande quantité de publications. Les essais de Huizinga (1938) et de Caillois (1958) lui sont consacrés entièrement. « Le jeu est plus ancien que la culture », constate Huizinga en ouverture de son Homo Ludens : les animaux « jouent exactement comme les hommes ». Le jeu manifeste l’existence de l’esprit avant la culture et celle-ci, prise dans son sens le plus large, garde du jeu des traits fondamentaux. Caillois, limitant son propos à l’espèce humaine, constate lui aussi l’ubiquité du jeu, notant cependant une restriction : « le jeu est une activité de luxe et qui suppose des loisirs ».
Ces auteurs vont s’attacher à examiner les traits principaux du jeu, partant de la notion commune, sans tenter de définir rigoureusement ce que c’est. L’association du jeu à l’enfance s’est renforcée depuis, après les travaux de Piaget (1945) qui soulignent son importance pour l’apprentissage. Les jeux et divertissements d’adolescents et adultes, et la création, au XXe siècle et plus récemment, d’une grande quantité de jeux de société et jeux vidéo ont suscité moins de commentaires érudits.
Étiquettes : copains, humour, jeux, Melle, Soirée, Vendredi