FABRICE PENAUX
En 2018 Fabrice Penaux est revenu au dessin, plus précisément aux travaux sur papier. Il trouve un lot de cahiers de dessin, petits formats, il choisit des outils de base : crayons de couleurs, encre de chine, brou de noix, ainsi, ces choix réalisés, le travail d’atelier peut débuter ;
entre 2018 et 2022, une centaine de cahiers sont noircis, colorés. À contre-temps, à contre-courants, en dehors des modes artistiques, il reprend sa grammaire, ses symboles, ses thèmes de prédilection visités depuis le début des années 80.
Le confinement de 2020 a accéléré son travail, comme si l’ urgence à créer s’ amplifiait pour échapper à cet enfermement, loin des cafés, loin des conversations, des échanges…
Les objets, les fleurs, les arbres fréquentent les sabliers les clés, les couronnes de roi ; les gueules de bois surgissent.
L’ensemble présenté au café du boulevard est un extrait de ces 400 petits formats achevés sur cette période.
En 2018 Fabrice Penaux est revenu au dessin, plus précisément aux travaux sur papier. Il trouve un lot de cahiers de dessin, petits formats, il choisit des outils de base : crayons de couleurs, encre de chine, brou de noix, ainsi, ces choix réalisés, le travail d’atelier peut débuter ;
entre 2018 et 2022, une centaine de cahiers sont noircis, colorés. À contre-temps, à contre-courants, en dehors des modes artistiques, il reprend sa grammaire, ses symboles, ses thèmes de prédilection visités depuis le début des années 80.
Le confinement de 2020 a accéléré son travail, comme si l’ urgence à créer s’ amplifiait pour échapper à cet enfermement, loin des cafés, loin des conversations, des échanges…
Les objets, les fleurs, les arbres fréquentent les sabliers les clés, les couronnes de roi ; les gueules de bois surgissent.
L’ensemble présenté au café du boulevard est un extrait de ces 400 petits formats achevés sur cette période.
Étiquettes : copains, exposition, jeudi, Melle, vernissage
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