Vernissage jeudi 29 Juin 2016 de 18h à 20h – Gratuit – Dîner sur réservation à partir de 20h
Céline DELAS et Léo
Céline Délas ou Des Ciseaux dans la tête
Au milieu des années quatre-vingt-dix, parallèlement à des études en histoire de l’art, j’ai commencé à découper des images issues des magazines. Des mannequins avaient des têtes en formes de petits pois tandis que des chefs d’Etat les mains dans la caisse et dans le sang perdaient la leur. Ces assemblages à la Prévert étaient conçus comme de nouvelles cartes postales à offrir à mon entourage.
Puis, les ciseaux et la colle l’ont souvent emporté sur un parcours universitaire aboutissant à une thèse sur la Figuration narrative ayant pour héros les peintres Erro, Monory, Rancillac, Arroyo…
Sans prévenir, j’ai lorgné plus attentivement vers toutes sortes de supports avec des reproductions jusqu’à les amasser et les répertorier afin de fabriquer des collages de plus en plus denses.
Cette manie ne pouvait qu’engendrer des séries thématiques et politiques de collages, qui cassent le monde contemporain en quatre et plongent les corps dans une réalité et des récits malicieusement recomposés par moi-même.
Léo vient du milieu professionnel de l’audiovisuel. Réalisatrice de plusieurs films D’art et d’essais, clip vidéo et autres, elle commence a faire des collages en 1982.
Venant de l’Underground, fascinée par les extrêmes, sa principal source d’inspiration est la femme; C’est pour elle un exutoire, la possibilité de mètre en scène l’art des autres et de toujours lui donner une connotation fantasmagorique. c’est aussi l’expression d’un sentiment, d’une frustration ponctuelle inspiré par la vie ou la mort. Il se dégage de son travail, à la fois une force très positive et en contradiction une atmosphère très sombre.
Exposition du 29 Juin au 14 Septembre 2017
Bientôt un article de presse
Céline Délas ou Des Ciseaux dans la tête
Au milieu des années quatre-vingt-dix, parallèlement à des études en histoire de l’art, j’ai commencé à découper des images issues des magazines. Des mannequins avaient des têtes en formes de petits pois tandis que des chefs d’Etat les mains dans la caisse et dans le sang perdaient la leur. Ces assemblages à la Prévert étaient conçus comme de nouvelles cartes postales à offrir à mon entourage.
Puis, les ciseaux et la colle l’ont souvent emporté sur un parcours universitaire aboutissant à une thèse sur la Figuration narrative ayant pour héros les peintres Erro, Monory, Rancillac, Arroyo…
Sans prévenir, j’ai lorgné plus attentivement vers toutes sortes de supports avec des reproductions jusqu’à les amasser et les répertorier afin de fabriquer des collages de plus en plus denses.
Cette manie ne pouvait qu’engendrer des séries thématiques et politiques de collages, qui cassent le monde contemporain en quatre et plongent les corps dans une réalité et des récits malicieusement recomposés par moi-même.
Léo vient du milieu professionnel de l’audiovisuel. Réalisatrice de plusieurs films D’art et d’essais, clip vidéo et autres, elle commence a faire des collages en 1982.
Venant de l’Underground, fascinée par les extrêmes, sa principal source d’inspiration est la femme; C’est pour elle un exutoire, la possibilité de mètre en scène l’art des autres et de toujours lui donner une connotation fantasmagorique. c’est aussi l’expression d’un sentiment, d’une frustration ponctuelle inspiré par la vie ou la mort. Il se dégage de son travail, à la fois une force très positive et en contradiction une atmosphère très sombre.
Exposition du 29 Juin au 14 Septembre 2017
Bientôt un article de presse
Étiquettes : collages, exposition, Melle, vernissage