Mardi 20 Mars 2018 – 21h – Tarif 6€ – Salle assise et debout – Restauration rapide sur réservation avant le concert
BUZZ RODEO
Chevauchée fantastique avec le nouveau et fougueux groupe Buzz Rodeo en provenance de Stuttgart. Ce ne sont pourtant pas de jeunes poulains débarquant dans l’enclos rock. Le guitariste-chanteur (Ralf Schaarschmidt) a notamment participé à de nombreuses formations depuis le milieu des années 90 avec Bhang Dextro, Craving, Are We Electric ? ou encore Tiger Show Caps. Soit toute une lignée de groupes qui ont revisité avec plus ou moins de bonheur les courants allant du noise-rock made in Chicago au post-punk ou plus franchement rock’n’roll. Et avec Buzz Rodeo, c’est indéniablement le groupe le plus percutant et intéressant de la série. C’est bon de vieillir.
Buzz Rodeo, c’est le versant plus noise-rock avec un doigt de post-punk (non, ce n’est pas vulgaire), la rencontre de McLusky, Bear Claw, Bastro, Ten Grand et d’un obscur groupe américain adoré par ici, Miniwatt, dans le genre mécanique infaillible, coupante, précise et rutilante. Le trio Buzz Rodeo apporte ensuite de la véhémence, de l’enthousiasme tempéré avec juste ce qu’il faut de noirceur et dureté, une touche de rock’n’roll pour apporter de la chaleur dans nos petits cœurs et surtout, l’art d’emballer des morceaux en trois fois rien de temps avec le riff qui sonne juste, l’harmonie qui fait décoller la compo, la rythmique véloce qui tabasse mais point trop n’en faut. Des titres comme Arkansas, The Gap, Movie Star, Brick Lane ou Station 41, c’est l’idée d’un chanson noise-rock parfaite, un enfilage de perles en toute simplicité avec un dosage parfait entre rudesse et fluidité, angularité et légèreté, les codes en vigueur et sa petite musique personnelle, la tête et les jambes.
Un disque pressé à 100 malheureux exemplaires avec différents médaillons collés sur la pochette. Pour l’exemplaire n°67, c’est uchi mata, soit à quelque chose près, l’effet que ce disque procure sur notre pauvre carcasse qui en a pourtant entendu d’autres.
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bientôt des photos de Darry
Étiquettes : concert, Melle, noise, Punk, Rock, Soirée
Chevauchée fantastique avec le nouveau et fougueux groupe Buzz Rodeo en provenance de Stuttgart. Ce ne sont pourtant pas de jeunes poulains débarquant dans l’enclos rock. Le guitariste-chanteur (Ralf Schaarschmidt) a notamment participé à de nombreuses formations depuis le milieu des années 90 avec Bhang Dextro, Craving, Are We Electric ? ou encore Tiger Show Caps. Soit toute une lignée de groupes qui ont revisité avec plus ou moins de bonheur les courants allant du noise-rock made in Chicago au post-punk ou plus franchement rock’n’roll. Et avec Buzz Rodeo, c’est indéniablement le groupe le plus percutant et intéressant de la série. C’est bon de vieillir.
Buzz Rodeo, c’est le versant plus noise-rock avec un doigt de post-punk (non, ce n’est pas vulgaire), la rencontre de McLusky, Bear Claw, Bastro, Ten Grand et d’un obscur groupe américain adoré par ici, Miniwatt, dans le genre mécanique infaillible, coupante, précise et rutilante. Le trio Buzz Rodeo apporte ensuite de la véhémence, de l’enthousiasme tempéré avec juste ce qu’il faut de noirceur et dureté, une touche de rock’n’roll pour apporter de la chaleur dans nos petits cœurs et surtout, l’art d’emballer des morceaux en trois fois rien de temps avec le riff qui sonne juste, l’harmonie qui fait décoller la compo, la rythmique véloce qui tabasse mais point trop n’en faut. Des titres comme Arkansas, The Gap, Movie Star, Brick Lane ou Station 41, c’est l’idée d’un chanson noise-rock parfaite, un enfilage de perles en toute simplicité avec un dosage parfait entre rudesse et fluidité, angularité et légèreté, les codes en vigueur et sa petite musique personnelle, la tête et les jambes.
Un disque pressé à 100 malheureux exemplaires avec différents médaillons collés sur la pochette. Pour l’exemplaire n°67, c’est uchi mata, soit à quelque chose près, l’effet que ce disque procure sur notre pauvre carcasse qui en a pourtant entendu d’autres.
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Buzz Rodeo, c’est le versant plus noise-rock avec un doigt de post-punk (non, ce n’est pas vulgaire), la rencontre de McLusky, Bear Claw, Bastro, Ten Grand et d’un obscur groupe américain adoré par ici, Miniwatt, dans le genre mécanique infaillible, coupante, précise et rutilante. Le trio Buzz Rodeo apporte ensuite de la véhémence, de l’enthousiasme tempéré avec juste ce qu’il faut de noirceur et dureté, une touche de rock’n’roll pour apporter de la chaleur dans nos petits cœurs et surtout, l’art d’emballer des morceaux en trois fois rien de temps avec le riff qui sonne juste, l’harmonie qui fait décoller la compo, la rythmique véloce qui tabasse mais point trop n’en faut. Des titres comme Arkansas, The Gap, Movie Star, Brick Lane ou Station 41, c’est l’idée d’un chanson noise-rock parfaite, un enfilage de perles en toute simplicité avec un dosage parfait entre rudesse et fluidité, angularité et légèreté, les codes en vigueur et sa petite musique personnelle, la tête et les jambes.
Un disque pressé à 100 malheureux exemplaires avec différents médaillons collés sur la pochette. Pour l’exemplaire n°67, c’est uchi mata, soit à quelque chose près, l’effet que ce disque procure sur notre pauvre carcasse qui en a pourtant entendu d’autres.
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